FOXY BRONX

ROOKIES (THE) : SEASON 1 PART 2

#7 – THE BEAR THAT DIDN’T GET UP

A la suite d’une intrusion de rodeurs dans les locaux d’un campus universitaire, un étudiant trouve la mort dans un échange de tirs avec la police. Alors que toutes les preuves semblent le désigner, Willie doit faire face à une accusation d’homicide…

Après des débuts encourageants, la série semble s’essouffler un peu : voici bien-là l’une des histoires les plus faiblardes de la saison 1, desservie par une intrigue incohérente et une action réduite à son plus stricte minimum.

#8 – DIRGE FOR SUNDAY

Pris en otage par un tueur à gage qui souhaite échanger sa vie contre celle d’un mafieux repenti dont la tête a été mise à prix par la pègre, Mike est contraint de revêtir une ceinture d’explosifs. Le gangster engage alors un ultimatum diabolique avec la police pour se faire livrer sa proie…

Dans un rôle de méchant dandy, Roddy McDowall cabotine à mort dans cet épisode cartoonesque dénué de toute crédibilité.

#9 THE GOOD DIE YOUNG

Terry et Willie font équipe avec deux femmes policiers pour tendre un guet append à un serial killer dément…

Un tueur sexuellement frusté totalement caricatural pour un épisode au traitement un peu hasardeux. Cheryl Ladd de la série Drôle De Dames fait ici une apparition éclair.

#10 TO TASTE OF TERROR

Après avoir assisté à l’arrestation de son comparse par Mike Danko à la suite d’un cambriolage raté, un petit voyou se livre à un véritable harcèlement auprès de son épouse Jill, dans le but de forcer l’officier à ne pas témoigner à charge lors du procès qui s’annonce…

Une intrigue sans réelle surprise, rehaussée par la prestation d’Andrew Robinson qui campe ici un psychopathe plus vrai que nature.

#11 A DEADLY VELOCITY

Willie tombe amoureux de la fille d’un général dont il est chargé d’assurer la protection rapprochée…

Un scénario de politique fiction particulièrement fade, une sous intrigue romantique généreuse en bavardages guimauves et un épilogue dès plus ridicule contribuent ici à l’un des plus gros ratages de cette première période 1972.

#12 A BLOODY SHADE OF BLUE

Après avoir été pris pour cible par deux tueurs fous, Terry est contraint de se faire bander les yeux pour ne pas risquer de perdre la vue. Hospitalisé et réduit à une longue convalescence, il se lie d’amitié avec une jeune infirmière naïve débarquée de sa province natale.

Un opus en demi-teinte où l’intrigue, au départ pourtant très prometteuse, se voit par la suite totalement sabordée par des longueurs mélodramatiques insupportables.

 THE ROOKIES

THE ROOKIES

THE ROOKIES

THE ROOKIES

THE ROOKIES

THE ROOKIES